Nom : Sagara
Prenom : Sanosuké
Age : 22 ans
Ancien village : Konoha
Description : Au premier abord tout à fait normal, Sanosuké ne l’est pas du tout c’est clair et net aussi bien mentalement que physiquement et nous allons vous expliquer tout cela en détail.
Physiquement tout d’abord, le jeune homme se démarque des autres shinobis car sa plus grande taille puisque mesurant pas moins d’un mètre 90 il dépasse d’une tête au moins bon nombre de ses camarades….ou anciens camarades.
Ensuite ses cheveux son d’une couleur plutôt banale puisqu’ils sont noirs comme l’ébène néanmoins ses yeux sont eux aussi de cette même couleur.
Pour le reste ses traits de son visage sous tout ce qu’il y a de plus fins et ce même visage ne changent que rarement d’expression qu’importe la situation. Le reste de son corps témoigne à merveille des entraînements reçus ; en effet il est parsemé ça et là de cicatrice en tout genre sans pour autant masquer la musculature évidente du jeune homme : de vraies tablettes de chocolat.
Passons à son caractère à présent : peu nombreux sont ceux qui le connaissent et savent bien qu’en combat plus que n’importe quand, son visage n’est jamais altéré par aucune émotions du moins en apparence car qui sait ce qu’il y a réellement dans sa tête ? Personne à part lui donc nous n’allons pas faire davantage de supposition sur son état d’esprit lors de situations diverses et variées.
Histoire : Le clan Sagara était autrefois très connu, vos parents doivent sans doute encore se souvenir de ce clan désormais disparu et moi, Sanosuké Sagara, l’héritier direct de ce clan maudit, vais vous raconter mon histoire.
Il y a déjà 22 printemps que je vis le jour dans un petit village niché au fin fond de Konoha, prés de sa frontière avec Kaze no kuni, le pays du vent. Je suis le fruit de l’amour de ma mère envers son mari, le chef du clan, et d’une pulsion sexuelle de ce dernier, très réjouissant n’est-ce pas ? Et la suite n’allait pas arranger les choses, bien au contraire.
Dans ce clan il y a d’un côté les hommes, fières machines à tuer sans pitié, et de l’autre les femmes, de simples machines à procréer et à faire les tâches ménagère.
Néanmoins ce clan n’était pas tant connu pour être l’un des plus misogyne qui soit que pour être le plus inhumains des clans qu’on ai jamais vu, dont le taux de mortalité, surtout infantile, est était le plus élevé.
Comme le veux la coutume, après avoir appris à marcher je fus arraché aux bras de celle qui était alors ma mère pour commencer mon initiation qui me permettrait de devenir un jour un formidable ninja sinon je mourrais comme ils me le disaient sans cesse.
J’appris alors à parler, lire et écrire en même temps que de me battre pour que le combat soit aussi naturel chez moi que de respirer par exemple et je vous jure que ça marche du tonnerre.
Les cours de lecture et écriture étaient tout le temps alternés avec les entraînements au taijutsu et ninjutsu principalement et ce jusqu’à ce que je sache parle, lire et écrire à al perfection ce qui arrivai lorsque j’eu 6 ans tout au plus.
Mon clan, ma famille était détestée de tous mais ce qui était indéniable c’était l’efficacité de leurs méthodes dites inhumaines ; car oui les séances d’entraînements au combat pouvaient bien durant de l’aurore au couchant sans s’arrêter mais les résultats se faisaient sentir dés le lendemain matin quand l’entraînement reprenait à nouveau.
Le jour de mes six ans vint enfin le jour que j’attendant tant où je puis enfin entrer dans l’académie ninja de Konoha, on m’avait tellement fait d’éloge sur le niveau de ces pitoyables ninjas du village de la feuille que bien entendu en arrivant j’était émerveillé, tout petit garçon que j’était, de voir des chuunin et juunin à tous les coins de rues mais à présent quand on sait ce qu’est devenu ce pitoyable village dont je garde les souvenirs dans ma mémoire, on peut se demander si leur réputation était bien méritée.
Il va de soit que j’était le premier de ma classe et de toute l’académie ce qui me valait l’attirance de bon nombre de fille envers moi dont je ne me souciait guère car l’amour est une faiblesse de l’esprit dont seuls les couards peuvent prêter attention ; voilà l’un des nombreuses choses que j’ai appris dans ma famille si tel est le mot le plus approprié pour une telle communauté.
En plus des cours simplissimes de l’académie et de leurs entraînements basique je poursuivait ma formation au sein de ma famille cependant certains voyaient en moi une gêne pour leur progression dans la hiérarchie car à ce rythme là je serait rapidement devenu digne de succéder à mon père comme chef de clan et à l’époque c’était ma seule préoccupation.
A l’âge où tous rentrent comme simple étudiant dans une académie, c'est-à-dire à 8 ans, moi je sortait major de ma promotion en y étant rentré deux ans plus tôt, deux ans plus tôt que tous et bien sûr j’attirait l’attention de certains ninjas et seigneurs de provinces qui voyaient en moi un jeune homme prometteur à l’avenir brillant si tant est qu’il ne restait pas enfermé dans son clan mais à l’époque les Sagara étaient tout ce qui m’importait.
A 8 ans devenu chuunin, le jeune prodige que j’était devenu se voyait donner des missions d’escorte essentiellement et rarement des mission d’assassinat car bien qu’étant à l’époque une machine à tuer, encore aujourd’hui d’ailleurs, j’était trop jeune et trop inexpérimenté pour qu’on prenne le risque de me perdre au cours d’une mission, moi, le futur chef du clan Sagara si tout se passait bien.
Peu importe la nature de ces missions et le fait qu’elles soient ennuyeuses ou non, je devenait un peu plus fort chaque jour en m’entraînant auprès des grands de ma famille sans pour autant être autorisé à le faire avec mon père comme le font chaque père et fils un tant soit peu normaux mais nous n’avions rien de normal c’est le moins qu’on puisse dire.
Victime de la jalousie de certains de mes camarades de Konoha je continuais mes missions sans me soucier outre mesure de ce qu’on pouvait penser de moi, pourquoi s’embêter à écouter ce que pensent les autres de toi si c’est uniquement en mal ?
Bref els années passèrent, 4 précisément lorsque je passa avec bio le test pour devenir juunin, enfin mes efforts étaient récompensés et bien plus tôt que je ne l’aurait cru puisqu’à douze ans seulement j’allait me voir remettre des missions de classe A, des missions d’assassinat c’était surtout ce que j’espérait car c’était ce dans quoi tous les Sagara excellaient principalement.
Bien sûr ma montée en grade fit bien des jaloux au sein de mon clan car voir un garçon de 12 ans à peine devenir ninja de rang supérieur faisait bien des envieux, tant pis pour eux, tant mieux pour moi et je sentait bien que tôt ou tard ça allait finir par péter, c’était presque inévitable.
Fort de la montée en garde de son fiston chérie, mon père me fit l’insigne honneur de m’entraîner personnellement car lui comme moi, voulions que j’entre au sein du cercle très fermé des anbus et il ferait tout pour que j’y arrive, et moi de même.
Jour après jour je passait mes entraînements en compagnie de mon père qui commençait à se faire vieux et accélérait mes séances pour que je soit assez fort au moment où il ne serait plus en état de diriger notre communauté et ce moment arriverai bien plus tôt qu’il ne l’aurait cru.
Ce fut donc l’âge de 14 ans, soit deux ans après mon accès aux sphères supérieures que j’intégrais enfin le corps des anbus donc je porte encore le tatouage à l’épaule gauche et le masque toujours sur moi, sur mon visage ou non, pour me souvenir de ce que j’ai fais par le passé, en bien ou en mal car bien entendu en temps qu’anbu mes missions principales se limitaient souvent à des assassinats de personnes importantes mais pas de déserteurs, ça c’était le boulot des oi-nin.
Je m’amusait comme un petit fou à massacrer des politiciens, des dirigeants devenus gênants car ce qui me plaisait le plus à l’époque et qui ne me fait plus ni chaud ni froid désormais, c’était de voir ces gens faire dans leur froc à l’approche de leur bourreau, de les entendre me supplier d’épargner leur vie…quand j’y pense, c’était le bon temps.
A mesure que je devenais plus fort et que mon père vieillissait, je sentait ce dernier plus distant avec moi, plus…détestable si on peut dire mais cela ne m’intriguait guère plus que ça, ce qui m’inquiétait plus c’était davantage l’animosité de certains membres de notre communauté à mon égard pour des raisons qui m’étaient totalement inconnue à l’époque et que je comprend tout à fait aujourd’hui sans pour autant justifier leurs actes.
Et arriva ce qu’il devait arriver : un jour au cours d’une mission des ninjas qui m’étaient inconnues m’attaquèrent et je les mis en pièce sans difficulté et lorsque leurs visages m’apparurent je me rendis compte que c’étaient des membres de mon clan et après leur avoir coupé quelques doigts ils avouèrent avoir été envoyés par mon père et sur ces mots une colère sans borne monta en moi : après leur avoir servit des années ils osaient se débarrasser de moi comme un vulgaire bout de viande, ces immondes pourceaux m’avaient utilisés pour mieux me jeter ensuite et ils allaient en payer le prix fort.
On m’avait toujours interdis de prendre cette arme, ce sabre nommé tatsumashii qui devait revenir au plus fort du clan Sagara mais indéniablement je méritait de me venger et ce sabre allait m’aider et pour cause, depuis ce jour je le porte toujours avec moi.
Ce jour restera graver dans ma mémoire pour l’éternité et plus encore, le jour ou j’ai décapité mon père comme tous els membres de mon clan, homme ou femme, enfants ou vieillard aucune différence ils étaient tous responsables !
Après ce jour j’ai essayé de rendre servir à Konoha pendant quelques années mais depuis que mon village à été détruit par les bannis, je n’ai plus la force de les aider et j’ai préféré vagabonder…attendant la bonne personne qui saurait me redonner un but.
Grade : J’aimerai reprendre mon ancien grade d’anbu si possible...sannin peut être?Mais je peux toujours rêver^^
Arme :
-« Tatsumashii », L'arme de Sanosuké est un magnifique sabre long sans nul autre pareil et tranchant comme pas deux, son fourreau est presque entièrement noir avec quelques dorures de temps à autres; quand au manche et la garde de ce sabre, ces deux éléments sont blancs tous les deux.
Ven 1 Juin - 23:59:55
