La marche sans fin

Jounin vagabond

Ravage arriva sur la grande route direction Suna no kuni pour voir l'état de ce village.
Le brouillard s'épaissit et Ravage ni presque rien:
-Pffff!!!!je n'y vois rien.
Plus Ravage marchait on aurait dit qu'il n'a jamais bouger!!!
Apres de longue heures de marche;Ravage arriva enfin a la frontière de Suna.
-Enfin,se dit Ravage,il était temps que j'arrive.
=]suite rp au porte de Suna

Jounin vagabond

C’était 17 heures piles lorsque Clad arriva. Il avait 10 minutes de retard et il se prétendait ninja. Je ne niai pas sa force c’est vrai, mais je n’étais pas sûr qu’il soit toujours ponctuel. De toute façon, là n’était pas l’essentiel. Je le vis taper de sa paume son front d’un geste désespéré. Il avait dût surement comprendre que j’étais pressé d’en finir avec les explications pour commencer la pratique. Je vis une lueur sadique dans ses yeux et il vit en même tant que moi une corde traversant l’aire d’entraînement. Le chuunin me regarda et me sourit l’air innocent. Il me dit ensuite que comme échauffement, je devais suivre là corde. C’était bref, il n’avait pas l’air de plaisanter en tout cas. Je fis oui de la tête avant de partir au long de la corde.

Etape 1 : La falaise

L’air était de plus en plus froid au rythme de mes pas, malgré cette heure non-tardive, il faisait aussi froid que si il serait été 4 heures plus tard. De suivre la corde, pour l’instant, ce n’était qu’une partie de plaisir. Mais ce froid ne me disait rien qui ait. Mes mains étaient gelées, c’était limite si on pouvait les casser en les touchant. Mes pas qui d’habitudes étaient énergétiques n’étaient pas rapide pour la 1ère fois de ma vie. Maintenant, je devais avancer à deux à l’heure, ce qui était très lent. Je me demandais bien ce que me réservais ce chemin. Il y régnait une petite brise étant à l’origine de cette froideur. Mes cheveux flottaient dans le vent glacé du soir. Je me cognai contre quelque chose ou quelqu’un. Je regardai et vit un homme d’environ 60 ans, une canne à la main revenir de l’autre bout de la corde. Je me relevai et il en fit de même avant de me dire d’un ton grincheux :

-Tu pourrais t’excuser sale gosse !

**Décidemment les vieux, je peux pas les cerner…**

Ce fût la 1ère réaction que j’eus après qu’il m’eut dit ça. Avec ce brouillard, il m’était impossible de distinguer quoi que ce soit et de plus, je ne m’attendais pas à trouver quelqu’un ici, longeant la corde par cette froideur. Je pris sa canne par terre et lui rendit en le regardant dans les yeux d’un ton froid avant de lui répondre d’un ton aussi froid que mes yeux :

-Excusez-moi Monsieur, je ne vous avais pas vu avec ce brouillard. Mais puis-je vous poser une question si ça ne vous dérange pas ?

Le vieux grincheux me fixa dans les yeux de la même façon que moi avant de me répondre d’un ton aussi grincheux voir plus qu’avant :

-Si tu veux gamin.

Je lui demandai qu’est ce qu’il faisait la par ce froid. Il me répondit qu’il se baladait puis me dit qu’il n’y avait pas de mal à ça. Je ne répondis pas à ça provocation mais je lui posai une autre question. Celle-ci demandait comment il s’appelait puis je me présantai avant qu’il n’eut le tant de répondre que je me nommai Kirua et que je faisais partie du clan Nara. Je lui dis aussi que j’étais étudiant et que j’avais 15 ans. Il me répondit à son tour :

-Puisque tu as eu la décence de te présenter avant moi, je vais répondre réellement à ta 1ère question ainsi qu’a t’as deuxième. Je me nomme Fubuki et je fais partie du clan Kaguya, donc je maîtrise les os. Je suis un ami de Kokuo et il m’a demandé d’installer cette corde pour un certain Kirua, c’est donc toi. Comme tu m’ais enfin de compte sympathique, je vais te donner des indices sur les épreuves à passer. Il y en aura 4, les unes plus chiantes et difficiles que les autres. La 1ère est à 200 mètres d’ici et je te laisserais le loisir de la découvrir. Sur ce je te laisse, je dois aller informer Kokuo que j’ai bien fais ce qu’il m’avait demandé ?

L’homme se volatilisa avant que je ne puisse dire quoi que ce soit. Je continuai à avancer avant de faillir mourir écrasé. Pourquoi ? Car il y avait une falaise d’au moins 100 mètres de hauteur et que j’avais failli marcher dans le vide. Je baissai la tête pour essayer de voir au fond mais je ne voyais rien. Je réfléchis à une solution et parvint à la conclusion qu’il fallait que je fasse adhésion pour que je marche sur le mur. J’utilisai le justu avant de descendre la paroi. J’étais à peu près arrivé à la moitié lorsque la roche se fendit et que je tombai dans le vide. J’atterris dans l’eu avant d’essayer de regagner la terre…

Etape 2 : Le torrent déchainé !

J’essayai de m’agripper à la corde qui remontait sur l’autre bord de la falaise mais en vain le torrent était trop fort, la seule fois où je réussi d’agripper la corde je lâchai directement repoussé par le torrent. Soudain, une branche tombée de nulle part me frappai la tête et je commençai à couler, évanoui. Je m’enfonçais de plus en plus dans l’eau verte et profonde. Bien sûr, je ne sentais rien jusqu’au moment où ma tête heurta le sol de cailloux se qui me fis retrouver mes esprits. Je n’avais plus de force et je pensais que j’étais condamné. Je restais sous l’eau dans l’incapabilité de remonter à la surface. Bizarrement, je me voyais attendre la mort mais soudain, je remontai à la surface et repris vite de la respiration avant que je ne recoule. Je n’avais plus de force. J’essayai de me rappeler de mes derniers jours en compagnie de Saz’ lorsque je me souvins.

Flash Back

[i]J’étai en compagnie de mes parents, nous étions à table entrain de manger, c’était avant ma rencontre avec Saz’. Mon père m’apprenait la dure vie des ninjas de façon théorique. Il commença à me raconter une histoire :

-Tout commença lors d’une mission secrète à Kiri No Kuni, le village du brouillard sanglant. Nous le surnommions ainsi car il était réputé pour que l’examen Genin soit extrêmement dur. Je sais que tu te demande pourquoi cela, et bien je vais te répondre tout de suite. Il était si dur de devenir Genin car c’était une mise à mort entre les participants. Enfin, là n’est pas l’important. Nous nous sommes retrouvez contre 4 Juunins de Kiri nettement plus fort que nous. Je fus assommé et jeté dans l’eau, inconscient. Lorsque je m’étais réveillé, j’ai cru que j’allais mourir. Soudain, j’avais entendu mes compagnons crier et par chance, il me restait asse de Chakra. Je le concentrai dans mes pieds et me propulsa hors de l’eau…

Fin Flash Back

**C’est exactement la même situation! Il faut que je concentre mon Chakra dans mes pieds**

Je fis directement ce que j’avais pensé et sortit de l’eau à toutes vitesse. Je montai de l’autre côté de la falaise et vit une immense forêt.

Etape 3 : La forêt

J’étais devant la forêt, on y sentait l’humidité d’où j’étais, à 20 mètres de celle-ci. Je m’avançai à l’intérieur et à chaque pas, elle était de plus en plus sombre, comme si je m’avançai vers le mal, les ténèbres. Je commençai à avoir de plus en plus froid. Plus je marchai suivant la corde, plus une odeur de sang régnait. Je me demandais pourquoi Kokuo-sensei avait fais passé une corde ici, peut être pour s’entrainer, mais il était pro taijustus, se serais bête puisqu’il fallait de son Chakra, il était vrai aussi que je n’avais passé que deux étapes et que je ne savais pas ce qui m’attendais dans cette forêt ni dans la dernière étape. Enfin, j’avais déjà une petite idée pour la forêt, il devait y avoir des pièges et des trucs dans le genre. Bizarrement, il y avait un chemin bien distinct entre les arbres d’environ 4 mètres de hauteur. Je marchai toujours en suivant la corde lorsque j’entendis une voix grave et rauque, elle venait d’un buisson non loin. Je ne la distinguais pas, l’homme parlait trop doucement. Je soufflai un petit feu pour les faire sortir. Ce fût d’ailleurs ce qu’ils firent. Je leur demandais où est ce que j’étais et ils me répondirent :

-Tu crois qu’on va te le dire microbe, tu dois être tellement faible que je pourrais te tuer d’une seule main !

Il me fonça dessus et m’assena un coup de sable au niveau de l’épaule. De la poussière s’éleva et quand elle se dissipa, j’étais à deux cm du sabre planté sur le sol. L’homme me dit que maintenant il y allait pour de vrai et je lui demandai s’il avait vu mon corps bougé. Il ne me répondit pas et redonna un coup. Je ne l’évitai pas et le voleur dit en croyant m’avoir eut :

-Les forts survivent et les faibles meurent, c’est la loi de cette forêt !

Ils s’apprêtaient à repartir lorsque je pris le sabre de l’homme qui m’avait attaqué et le trancha lui porta un coup a la gorge. Les trois autres partirent en courant. Après je dis a l'homme à moitié mort :

-Les forts survivent et les faibles meurent ? Dans se cas moure selon la loi de cette forêt !

je lançai le sabre en arrière qui se planta droit dans la terre. L'homme avait rendu son dernier souffle. Ensuite, je me dis:

**Mais qu'est ce que j'ai fais, j'ai tué 1 homme qui ne m'avais rien fais, et pourquoi j'y suis arrivé si facilement, snas avoir peur?**

Plein de questions de ce genre tournoyaient dans ma tête. Je l'enterait et après avoir repis mon calme, je continuai mon chemin et vit une rivière. Je courais vers elle et me nettoya le bras qui avait reçus le coup de sabre et ma tête ou il y avait du sang. D’ailleurs, la corde traversait cette rivière. Je la suivis donc et remarquai qu’elle rentra dans la forêt alors que je m’attendais à une autre étape. Je continuai quand même de la suivre en bronchant lorsque je tombais dans un profond trou, d’environ 20 mètres de profondeur. Il m’était impossible de monter, c’était beaucoup trop haut et ça me couterais trop de chakra de faire adhésion. J’aperçu en haut Fubuki, la vieil homme que j’avais bousculé lors de la première étape. Il me lança une corde et me cria que je devais grimper en moins d’une heure, sinon il l’a remonterais. Je m’accrochai et commençai à monter. J’avais à peine fais deux mètres lorsque je glissai. Je demandai à Fubuki se qui se passait et il me dit qu’il avait oublié de me dire qu’elle était enduit d’huile. Je réessayai mais en vain. Il me vint soudain l’idée de placer du chakra dans mes mains pours les rendre inglissable. Je montai et en 20 minutes, j’étais arrivé au sommet. Je remerciai le Kaguya et reprit ma route. Après environ 30 minutes sans obstacles, j’arrivais à la fin de la corde. Il y avait marqué sur une feuille faites demi-tour ! Je faillit perdre mon calme, j’avais penser que se serait une boucle mais c’était un aller. Je refis le même chemin en faisant attetion au piège que j’avais eut la 1ère fois. Lorsque j’arrivai vers Clad, je lui dit :

-C’est bon Clad, je suis chaud, on peut commencer l’entrainement.

Je le regardais en attendant sa réponse.

» Une marche pour rien